Les morts les plus controversées de Naruto, un classement qui va vous surprendre !
La saga de Naruto, créée par Masashi Kishimoto, a marqué les esprits non seulement par son intrigue captivante mais aussi par ses nombreux décès controversés. Ces pertes ont provoqué de vives discussions parmi les fans, certaines étant ressenties comme des moments charnières de l’histoire, tandis que d’autres ont été critiquées pour leur manque de sens ou leur impact émotionnel mal géré.
Sarutobi Asuma : une fin héroïque sous-exploitée
La mort de Sarutobi Asuma aux mains d’Hidan a laissé un goût amer, principalement parce que son potentiel narratif et sa richesse de caractère semblaient sous-utilisés. Son histoire, marquée par son héritage familial et son rôle de mentor, aurait mérité un développement plus approfondi, rendant sa disparition d’autant plus regrettable.
Itachi Uchiha : des adieux sous de mauvais auspices
Itachi Uchiha, ce personnage complexe dont la mort visait à propulser l’évolution de Sasuke, a suscité une grande controverse. Nombreux sont ceux qui auraient préféré le voir jouer un rôle plus central dans l’enseignement des valeurs de paix à Naruto et Sasuke, au lieu de finir comme un simple levier scénaristique.
Shisui Uchiha : un sacrifice précipité
La mort par suicide de Shisui Uchiha, mentor d’Itachi, a semblé forcée et précipitée. En tant que shinobi d’exception, il aurait pu avoir un impact bien plus significatif sur l’histoire, au lieu de servir uniquement de déclencheur pour Itachi.
Kimimaro Kaguya : un potentiel gâché
La fin de Kimimaro Kaguya, dernier descendant de Kaguya, a été une déception pour ceux qui espéraient le voir jouer un rôle plus conséquent dans l’intrigue principale. Sa maladie terminale et sa loyauté manipulée par Orochimaru ont réduit son personnage à un simple outil narratif.
Konan : une mort injustifiée
Konan, leader de l’Akatsuki trahie par Obito, aurait pu incarner une histoire de rédemption passionnante. Son assassinat brutal a été perçu comme un gaspillage de potentiel, particulièrement dans un contexte où les personnages féminins pouvaient déjà se sentir sous-représentés.
Nagato : un sort controversé
La mort de Nagato, qui choisit de redonner la vie aux victimes de Konoha suite à une conversation avec Naruto, a été critiquée pour son manque de conséquences face aux atrocités commises. Ce dénouement trop clément a soulevé des questions sur la justice et le pardon dans l’univers de Naruto.
Haku : une fin tragiquement inutile
La mort de Haku, soldat enfant manipulé par Zabuza, a été l’un des premiers chocs de la série. Cette disparition précoce a été vue comme un gaspillage tragique d’un personnage qui aurait pu symboliser le thème du mentorat et de la rédemption.
Neji Hyuga : un adieu discutable
La mort de Neji Hyuga pendant la guerre Shinobi a semblé inutile et maladroite, ne servant qu’à rapprocher Naruto et Hinata sans véritable justification scénaristique profonde. Ce choix narratif a laissé une partie de la communauté insatisfaite.
Sakumo Hatake : un récit de désespoir
La révélation du suicide de Sakumo Hatake, père de Kakashi, a introduit un thème sombre de dépression et de culpabilité. Cette histoire a été jugée maladroite par certains, estimant que le traitement de sujets aussi sensibles méritait plus de nuance.
Jiraiya : une perte profondément ressentie
La mort de Jiraiya, figure paternelle pour Naruto, a profondément marqué les fans. Son décès aux mains de ses anciens élèves, sans avoir pu compléter son arc narratif avec Tsunade ou influencer davantage l’histoire, a été perçu comme précipité et mal géré.
Les morts dans Naruto, un héritage complexe
Les morts dans Naruto constituent une partie intégrante de son récit, reflétant les réalités dures du monde des shinobi tout en suscitant des réactions passionnées de la part des fans. Bien que certaines aient enrichi l’histoire, d’autres restent sujettes à débat, témoignant de l’impact durable de la série sur sa communauté. Ces moments controversés, pour le meilleur ou pour le pire, continuent de définir Naruto comme une œuvre complexe et nuancée, qui invite à la réflexion longtemps après sa conclusion.